Résumé :
Verenmore n’a rien d’une université ordinaire. Corvina l’a su dès qu’elle a aperçu les tours gothiques se dresser à travers le brouillard. Ici, elle a enfin une chance de trouver sa place. Alors rien ne la fera fuir. Ni la forêt interdite, dans laquelle elle aime s’aventurer seule, ni les voix étranges qu’elle entend depuis son arrivée, ni même les rumeurs effroyables qui hantent les couloirs de l’école. En revanche, les regards appuyés de Vad Deverell, son professeur de littérature, ont le don de la mettre dans tous ses états. Est-ce parce que Corvina rêve que celui qu’on surnomme le diable aux yeux d’argent soit le premier à poser les mains sur elle ? Ou est-ce dû à ce pressentiment qu’il est étroitement lié aux secrets macabres de Verenmore ? Des secrets que Corvina compte bien découvrir, au risque d’y perdre son cœur… ou la raison.
Mon avis :
Tout d’abord, je tiens à remercier les éditions Harlequin et Babelio pour cette lecture et pour leur confiance.
Ce roman m’a beaucoup intriguée à sa sortie et je suis ravie d’avoir pu le découvrir grâce à la Masse Critique.
Corvina a 21 ans quand elle reçoit une lettre d’admission à Verenmore, une université qu’elle ne connaît pas et où elle n’a donc évidemment pas candidaté.
Après avoir un peu hésité, elle va décider d’accepter cette place sachant qu’elle vit seule et qu’elle n’a plus rien à perdre.
En arrivant, elle va rapidement se rendre compte qu’il y a de nombreuses choses étranges qui se passent dans cette école et ce n’est pas Vad Deverell, le professeur de littérature qui lui fera dire le contraire…
J’ai adoré l’ambiance gothique et mystérieuse et j’avoue que je n’avais absolument pas démasqué le méchant de l’histoire jusqu’au moment de la révélation…
Attention toutefois, celle lecture n’est pas à mettre entre toutes les mains et est à réserver à un public majeur en raison de scènes explicites !
J’ai totalement été transportée à Verenmore et j’avais du mal à reposer le roman ! J’espère avoir l’occasion de relire un autre roman de l’auteure dans le futur !
Je ne connais pas, mais en lisant ta chronique, je me dis pourquoi pas 🙂